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TERRAINS RENCONTRÉS DANS LES PUITS lion du profil celle différence a été déduite du surhaussement qui est ainsi réduit dans le des- | sin à l'",90. ' Cette désignation n’est pas rigoureusement axacte puisque la division basaltique con- I lient quelques roches sédimentaires, mais son caractère principal lui est donné par les ro ches éruptives, tandis que la division supérieure est exclusivement sédimentaire. J’ajouterai que j'ai tenu à conserver le terme formation basaltique, proposé par Carlos Ribeiro, auquel on doit la majeure partie des connaissances concernant le sol de Lisbonne. u La désignation de Couches d’Almada à été introduite par Sharpe (1839) pour désigner l’ensemble d’argiles, de sables et de calcaires compris entre le basalte ou les conglomérats i lacustres et les sables qui forment la partie supérieure du Tertiaire de Lisbonne. * Les épaisseurs sont exprimées en mètres et centimètres. Les parenthèses indiquent que | elles sont de 60 centimètres plus bas dans le puits qu’à l’axe du tunnel. Dans la conslruC' l’épaisseur traversée par le puits n’est qu’une partie de l’épaisseur totale de la strate. * Ce puits était traversé par une petite faille; du côté occidental se trouvait un banc de 40 centimètres de calcaire jaunâtre, avec polypiers, tandis que le côté oriental ne montrait que des marnes. Je n’ai pas pu en observer la continuation dans le tunnel; elle doit être considérée soit comme un accident tout à fait local, n’ayant pas eu d’inlluence sur le Crétaci- que, soit comme l’ayant affecté latéralement à l’excavation du tunnel. La base du basalte a été vérifiée directement dans ce puits, à 20 m ,35 de la surface du sol. + Ce puits est à 10"' à l’Ouest de l’axe du tunnel, mais les strates peuvent être projetées sur cet axe sans déplacement vertical. ’ Ce puits est à 12"' à l’Est de l’axe du tunnel. Par suite de l’inclinaison des strates, Désignations du mémoire Terrains rencontrés jusqu’à la plateforme N." 1 N.-> 2 N." 3 1 N." 4 4 N." 5‘ N." 6 Désignations et épaisseurs du rapport 2,50 2,50 4,00 4,50 Couches d’Almada v . . (11,18) (H,38) (7,50) (4,20) /Formation sédimentaire* . I iaire - - - 4,00 (1,00) - E I 85 0 80 H Formation basaltique 1,00 II Basalte peu compact, sans mélange de calcaire — 6,50 — — Marne rnnnp hrimip avec inclusions calcaires . . . . - 1,80 2,80 3,85 / Marno-calcair.' carentonins IIP, 5 à 10"' Calcaire blanc, avec manies rouges et calcaire rougeâtre à Ilequienia.. - - 3,95 7,00 8,25 — Cénomanien L, , •„ • , lr JCalcaire cristallin Calcaire compact avec ou sans silex, parfois poches de marnes rouges. - - (5,90) 8,80 9,10 14 00 IIP, 8 à 20'" <u I e* • • )(’ < 'il( , ;iii , es intermédiaires Calcaires et marno-calcaires lités 3,10 2.80 3,00 IIP ', 2,60 à 3"' t er rt "S \ Calcaire fragmenté Calcaire blanc, fragmenté, à Alveolina - - - 8,10 8,20 (3,27) III", 8'" U Calcaire marneux, jaunâtre, dolomilique, marnes, gypse, etc., en cou- VI Cénomanien marneux ' ches plus ou moins minces - - - (12,50) (33,42) - Cal
