• » h Etudes - S« V0 L “î T'ï™* ” toutes sortes dâ ’ C S *uventerent ” ennuis Tantôt e!!^ F° LU < r rasr ses :^.«bSS n *tfc;r! ,r ;; ^ e iwufrS î *! c ^ ! j tTT t ,uer ,e ««ife ” fappeloi^nt la n ' s P^ ctac les qui lui *> 1» gloire'<1. ,o„ ÏÏr„ J ' fe “ P««, » de ses charm«s nui aw»l t , no, nphe w destinées d’Athènes ■ ™ rep3ré les » vents, malgréïefoVd * q '? ni Jes ” des fiâtes J u j des - tan >J>ours et ” lointain des’ flots PP - 0rt0I f n . t I e bruit ” le rivage d’où elî S - e nsoient sur ” cruel Æ&ée e t seT "‘ T" le « de la mer et se’meL ;! . tou . rnoit du côté » les Narienues cotte/iTi' Ai " Si » malheureux trouve i q ’ lam °ur « des jeux, à redoubler m ‘ lleu ” .quoi» ne perd ]<» souvenî / ’ et ,J qu’en perdant celui d maux » Elles chercïerem l de $ î $ P laisirs - » A ^dne des iTeTx «“!? \ ” pouvoient lui n n i S ruus qui ” Elles l’en-a^erent à v '“j amant - M vdle, où eîles lui donnèrent" d» 05 ^ » fa» dans d, sailtZ^iC"/: