des Infiniment Petits. 1. Part. 9% Corollaire V. l°5*Si 1 on conçoit que le rayon OB du cercle immobi- FiG. S6. le devienne infini, l’arc BGD deviendra une ligne droite, 8 S. & la courbe AMD deviendra la roulette ordinaire. Or com me dans ce caslediametre AB du cercle mobile eft nul par rapport à celui de l’immobile ; il s’enlùit, i°. Que MG.GC wb.b. Puifque b^za — b, c’eft à dire que MG = GCi & partant que fi l’on prend BN =AB, & qu’on mene la droite NS parallèle à BD , la dévelopée DCN fera for mée par la révolution du cercle, qui a pour diametre BN", fur la bafe 2VS. z°. Que la portion de roulette AM Fi G. 87; eft à la corde correfpondante AE : : 2 b .b. 3°. Que l’efpace 88. MGBA eft au fegment BEZA:: 3b.b. 4 0 . Puifque BQ^ Fig. 87. ou ±_ 0 Q+OB, que j’appelle a: , eft =+b±y/2aa^-^ab-hbb, d’où l’on tire ( en ôtant les incommenfurables ) xx^-zbx s=:2aa±3ab ; l’on aurax=-\a, en effaçant les termes où b ne fe rencontre point, parcequ’ils font nuls par rap- Ï »ort aux autres. C’eft à dire que fi l’on prend dans la rou- ette ordinaire BP=\ AB , & qu’on mene la droite PEM Fig. 65; parallèle à la bafe BD ; l’efpace AM EB fera triple du trian gle EKB. On trouvera en opérant de la même manière, que fi le point P tombe au centre K, l’efpace AZEM ren fermé par la portion de roulette , k droite iW£, & l’arc AE, fera égal au quarré du rayon. Ce que 1 on a deja démontré cy-devant art. 99. Remarque. I o6.Ç^ o M m e les arcs DG, GM font toujours égaux en- Fig. tr’eux, il s’enfuit que l’angle DOG eft aufli toujours à l’angle G KM: : GK. OG. C’eft pourquoi l’origine D de la roulette DMA, les rayons OG, GK des cercles générateurs, & le point touchant G étant donnés, fi l’on veut déterminer dans cette pofition le point Æfqui décrit la roulette, il ne faut qu®