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zum Besten der hiesigen Armen im Saale des Gewandhauses zu Leipzig. Donnerstag, den 7. März 1867. »-ww Septett für Pianoforte, Flöte, Oboe, Horn, Viola, Violoncell und Kontra bass von J. N. Hummel, vorgetragen von den Herren Georg Leitert aus Dresden, Schachtzabel, Uschmann, Gumpert, Hermann, Hegar und Storch. Arie aus ,,Le chaperon rouge“ von Boieldieu, gesungen von Herrn Julius Stockhausen. Enfin me voilä seul! O fortune sejour. Ici dans un moment! ä peine je respire 1 De ce coeur brülant viens calmer le delire, viens m’accorder [le prix de tant d’amour. Dans l’ombre de la nuit Que l’amour pour mon coeur a de charmes! Avec le jour qui fuit La pudeur voit s’enfuir ses alarmes, Et toujours la beaute rend les armes. Rose, viens donc, ma belle, C’est le bonheur qui t’appelle. Voici l’heure charmante Oü Rose va venir, Et cette douce attente Est dejä le plaisir. O fortune sejour! Rose, ma voix t’appelle. Viens, m’accorder le prix de mon atnour! Ici, dans un moment, 6 fortune sejour! Fantasie für die Pedalharfe über Themen aus Moses von Parish-Alvars, vorgetragen von Herrn Vitzthum aus München. -o—o